L’impact de l’inflation sur l’investissement locatif

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Prêt immobilier : comment calculer le TAEG ?

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Comment calculer sa capacité d'emprunt ?

Avant d’acheter un bien immobilier, une question s’impose toujours : combien puis-je réellement emprunter ?


La réponse tient en un concept clé : la capacité d'emprunt. C’est elle qui détermine le montant maximum que les banques accepteront de vous prêter, et donc le budget exact de votre projet immobilier.


Comprendre et calculer sa capacité d'emprunt est essentiel pour éviter les mauvaises surprises : rechercher un appartement hors budget, se voir refuser un prêt, ou au contraire sous-estimer son potentiel d’achat. Ce calcul ne dépend pas seulement de vos revenus, mais aussi de vos charges, de votre taux d'endettement, de la durée du prêt, des frais annexes et même de la manière dont la banque analyse votre profil.


immobilier pret credit
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Les revenus a prendre en compte

Les revenus pris en compte par les banques pour calculer votre capacité


Les établissements prêteurs s’appuient sur vos revenus stables et réguliers pour évaluer votre solvabilité. Sont généralement intégrés :

  • vos salaires nets (hors primes exceptionnelles),

  • vos revenus locatifs existants, souvent pondérés à 70 % ou 80 % pour anticiper les éventuelles vacances locatives et frais de gestion,

  • vos revenus financiers ou pensions, s’ils sont récurrents et justifiés.


Dans le cadre d’un investissement locatif, les banques peuvent également prendre en compte une partie des loyers futurs attendus. Là encore, elles appliquent généralement un abattement de 20 à 30 % afin de rester prudentes. Cela permet aux investisseurs de ne pas voir leur capacité d’emprunt totalement bloquée par le nouveau crédit immobilier, puisque le bien génère lui-même des revenus.


En revanche, les primes ponctuelles, bonus exceptionnels ou revenus irréguliers (micro-entreprise, freelancing sans historique solide) sont rarement intégrés au calcul, car jugés trop aléatoires.

Les charges mensuelles qui réduisent votre potentiel d’emprunt


À l’inverse des revenus, la banque va examiner vos charges financières, c’est-à-dire toutes les dépenses régulières qui pèsent déjà sur votre budget. Elles sont essentielles car elles viennent directement réduire votre capacité d'emprunt.

Parmi ces charges, on retrouve :

  • Les mensualités de crédits en cours : prêt immobilier, crédit auto, prêt étudiant, crédit à la consommation…

  • Les pensions alimentaires ou compensatoires que vous versez chaque mois.

  • Les engagements contractuels comme un leasing automobile, un crédit renouvelable ou tout autre abonnement avec financement.

  • Les découverts bancaires récurrents ou dettes personnelles déclarées.


Ces charges sont considérées comme des obligations incompressibles, car vous ne pouvez pas y échapper. Les dépenses courantes (loyer, factures d’énergie, alimentation, loisirs) ne sont pas intégrées dans le calcul du taux d'endettement, mais elles impactent indirectement le critère du reste à vivre.


En résumé, plus vos charges financières sont élevées, plus votre capacité d'emprunt diminue. C’est pourquoi il est souvent conseillé de rembourser ou regrouper certains crédits avant de solliciter un prêt immobilier.

Le taux d'endettement: la règle des 35 % à connaître


Le taux d’endettement est la clé de voûte du calcul. Il correspond au ratio suivant :

Taux d'endettement = Charges financières/Revenus nets×100


En France, la règle appliquée par la majorité des banques est de ne pas dépasser 35 %. Cela signifie que vos mensualités de prêt (nouveau crédit inclus) ne doivent pas représenter plus d’un tiers de vos revenus. Cette limite est un repère, mais certaines banques peuvent accepter un taux légèrement supérieur si le reste à vivre est jugé confortable.


Au-delà du taux d’endettement, les conseillers bancaires accordent une grande importance au reste à vivre : la somme qu’il vous reste chaque mois après paiement de vos charges et crédits.


Par exemple, un foyer gagnant 6 000 € par mois avec 35 % d’endettement aura un reste à vivre d’environ 3 900 €, ce qui est confortable. À l’inverse, un foyer gagnant 2 000 € avec le même taux d’endettement ne disposera que de 1 300 € pour toutes ses autres dépenses, ce qui sera jugé plus risqué.


Le reste à vivre permet donc d’ajuster l’analyse au-delà de la simple formule, et peut faire la différence dans l’acceptation d’un dossier.


Revenus, charges, taux d’endettement et reste à vivre sont les quatre piliers qui déterminent votre capacité d'emprunt. Maîtriser ces critères, c’est savoir exactement sur quelles bases la banque va évaluer votre projet immobilier.

Les Frais Annexes qui Impactent Votre Capacité Réelle d’Emprunt

L’apport personnel : un atout majeur pour votre dossier


L’apport personnel correspond à la somme que vous investissez dans le projet, généralement issue de votre épargne. La plupart des banques exigent aujourd’hui un minimum de 10 % du prix du bien pour couvrir les frais annexes (notaire, dossier, garantie).


Plus votre apport est élevé, plus votre dossier est solide. Un investisseur qui injecte 30 000 € dans un projet à 200 000 € inspire davantage confiance qu’un emprunteur qui demande à tout financer par la banque.
En pratique, un bon apport peut :


  • réduire le montant emprunté et donc les mensualités,

  • ouvrir l’accès à de meilleures conditions de taux,

  • augmenter vos chances d’obtenir un accord rapide.

L’assurance emprunteur : un coût parfois sous-estimé


Souvent perçue comme un détail, l’assurance emprunteur peut représenter jusqu’à 25 % du coût total du crédit. Elle couvre le remboursement du prêt en cas de décès, invalidité ou incapacité de travail.


Par exemple, pour un emprunt de 220 000 € sur 20 ans avec un taux d’assurance de 0,30 %, cela représente environ 55 € par mois, soit 13 200 € sur toute la durée du prêt.


Les banques intègrent systématiquement cette mensualité d’assurance dans le calcul de votre capacité. Une mauvaise anticipation peut donc réduire votre enveloppe d’achat de plusieurs milliers d’euros.


Astuce : comparer les assurances (délégation d’assurance vs assurance bancaire) permet parfois d’économiser plusieurs dizaines d’euros par mois et de gagner en capacité d'emprunt.

Frais de dossier, garanties et notaire : leur poids sur votre financement


À cela s’ajoutent d’autres frais incontournables :

  • Les frais de dossier bancaire (entre 500 et 1 500 € selon les établissements),

  • Les frais de garantie (caution ou hypothèque), souvent 1 à 2 % du montant emprunté,

  • Les frais de notaire (7 à 8 % dans l’ancien, 2 à 3 % dans le neuf).


Sur un projet de 200 000 € dans l’ancien, les frais de notaire seuls atteignent environ 16 000 €. Si vous ne les financez pas via votre apport, ils viennent réduire d’autant la capacité que la banque peut vous accorder.


Votre capacité d’emprunt brute n’est qu’un point de départ. Apport, assurance, frais de garantie et notaire viennent redessiner la réalité du budget disponible. Anticiper ces coûts, c’est éviter de viser un bien inabordable et présenter un dossier plus solide face à la banque.


Vous avez encore des questions concernant la méthode de calcul ? Nos experts sont la pour vous répondre.


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