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Comprendre sa rentabilité locative réelle

La rentabilité est le cœur de tout investissement immobilier. Avant même de choisir un bien, tout investisseur doit être capable d’évaluer combien son projet peut rapporter et à quel coût. C’est ce calcul qui détermine si un investissement locatif est réellement intéressant ou s’il risque de devenir une charge financière.


En immobilier, plusieurs niveaux de rentabilité existent : la rentabilité brute, la rentabilité nette et la rentabilité nette-nette. Chacun apporte une vision plus précise de la performance réelle d’un bien, en intégrant progressivement les charges, la fiscalité et les frais annexes (frais de notaire, travaux, gestion…).

immobilier pret credit
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Les fondamentaux du calcul de rentabilité

La rentabilité brute : un premier indicateur simple mais limité


La rentabilité brute est le calcul le plus connu et le plus utilisé par les primo-investisseurs. Elle consiste à rapporter les loyers annuels perçus au prix total d’acquisition du bien immobilier.


Formule : Rentabilité brute = Loyer annuel / Frais Total d'Acquisition ×100


Exemple : si vous achetez un appartement à 200 000 € avec 10 000 € de frais de notaire et que vous le louez 800 € par mois (9 600 €/an), votre rentabilité brute sera de 4,57%

C’est un indicateur simple et rapide, idéal pour comparer plusieurs biens entre eux. Mais attention : il ne tient pas compte des charges, des impôts ni des frais de financement.

La rentabilité nette : intégrer les charges

La rentabilité nette affine le calcul en soustrayant toutes les charges récurrentes liées au bien : taxe foncière, charges de copropriété non récupérables, assurance, frais de gestion locative…


Formule : Rentabilité nette = (Loyer annuel − Charges annuelles) / Frais Total d'Acquisition x 100


Exemple : si vos charges annuelles (taxe foncière, assurance, entretien) représentent 2 000 €, votre loyer net est de 7 600 €. Avec le même prix d’achat (210 000 €), votre rentabilité nette sera de 3,61%.


Cet indicateur se rapproche beaucoup plus de la réalité car il intègre les dépenses incontournables qui pèsent sur vos revenus locatifs.

La rentabilité nette-nette : le vrai bénéfice après fiscalité


Enfin, la rentabilité nette-nette (aussi appelée rentabilité nette d’impôt) est l’indicateur le plus précis. Elle inclut non seulement les charges, mais aussi l’impact de la fiscalité. Selon votre régime (micro-foncier, LMNP, régime réel, Pinel…), l’impôt peut faire varier considérablement votre rentabilité réelle.


Exemple concret :

  • Revenus locatifs : 9 600 €/an

  • Charges : 2 000 €/an

  • Résultat imposable : 7 600 €

  • Imposition (30 % + 17,2 % de prélèvements sociaux) = 3 565 €

  • Revenu net-net = 4 035 €


La rentabilité nette-nette tombe alors à seulement 1,92 % (contre 4,57 % en brut). C’est pourquoi il est essentiel d’anticiper la fiscalité de votre investissement avant d’acheter.

Les indicateurs avancés pour investisseurs avisés

Le cash-flow : la trésorerie réelle dégagée par votre bien


Le cash-flow est l’indicateur préféré des investisseurs expérimentés. Contrairement à la rentabilité, qui exprime un pourcentage, le cash-flow mesure combien il vous reste en euros chaque mois une fois toutes les charges payées : mensualité de crédit, taxe foncière, assurance, frais de gestion, entretien…


Formule : Cash-flow = Loyers encaissés - (mensualités de crédit + Charges + Impôts)


Exemple : un appartement qui génère 800 € de loyer, avec 600 € de mensualité de prêt et 150 € de charges + impôts, dégage un cash-flow positif de 50 € par mois.


Un cash-flow positif signifie que votre investissement vous rapporte de l’argent tous les mois. À l’inverse, un cash-flow négatif indique que vous devez compléter avec vos revenus personnels.C’est cet indicateur qui traduit le mieux la réalité vécue par l’investisseur : est-ce que le bien s’autofinance ou pèse sur vos finances personnelles ?

Le Taux de Rentabilité Interne (TRI) : mesurer la performance globale


Le TRI est un outil plus technique, mais redoutablement efficace pour comparer plusieurs investissements. Il mesure la rentabilité globale du projet en prenant en compte :


  • les flux de trésorerie (cash-flows positifs ou négatifs chaque année),

  • l’apport initial,

  • la revente finale du bien.


Le TRI intègre tous ces flux pour donner un pourcentage global de performance. C’est un indicateur très utilisé en finance pour juger si un projet mérite l’investissement. En d’autres termes, le TRI répond à la question : “Quel taux de rendement global génère cet investissement sur toute sa durée de vie ?” .

Les facteurs clés qui influencent directement votre rentabilité locative

L’emplacement : pilier n°1 de la demande locative et des loyers


En immobilier, le lieu où se situe votre bien conditionne presque tout : le niveau de loyers que vous pouvez pratiquer, la vacance locative, le type de locataires attirés et même la revalorisation future du bien. Un appartement en centre-ville, proche des transports, universités et commerces, sera beaucoup plus facile à louer qu’un logement excentré.


De même, une zone tendue, où la demande excède l’offre, garantit des loyers stables et une occupation quasi continue.

Investir dans un bon emplacement, c’est sécuriser vos loyers aujourd’hui et préparer une plus-value demain.

Le prix d’acquisition et les frais annexes (frais de notaire, travaux, agence)


Le prix d’achat ne se limite pas au montant affiché par le vendeur. Il faut toujours intégrer les frais de notaire, les éventuels frais d’agence, ainsi que les travaux nécessaires pour remettre le bien en état ou l’optimiser. Ces frais peuvent représenter 7 à 10 % du prix d’acquisition dans l’ancien, ce qui impacte directement votre rentabilité brute.


Exemple : un appartement affiché à 150 000 € peut en réalité vous coûter 165 000 € une fois les frais inclus. Si vous négligez ces postes, votre calcul de rentabilité sera faussé dès le départ.

La gestion des charges et dépenses : anticiper et optimiser chaque poste


Un bon investisseur ne se contente pas de regarder les loyers, il anticipe aussi toutes les charges liées au bien :


  • taxe foncière,

  • charges de copropriété,

  • assurance propriétaire non occupant,

  • gestion locative,

  • entretien courant et travaux de mise aux normes.


Ces dépenses réduisent mécaniquement votre rentabilité nette. Cependant, elles peuvent être optimisées : renégocier une assurance, comparer les syndics, réaliser des travaux énergétiques éligibles à des aides… Chaque économie réalisée renforce directement vos rendements locatifs.

Le financement (crédit immobilier) : effet de levier et coût réel


Le financement joue un rôle central dans le calcul de rentabilité. Grâce au crédit immobilier, vous pouvez acquérir un bien avec un apport limité et utiliser les loyers pour rembourser une partie des mensualités. C’est l’effet de levier du crédit. Cependant, le coût du financement (taux d’emprunt, assurance, frais de dossier) peut alourdir la facture et réduire vos marges. D’où l’importance de négocier son prêt immobilier et d’adapter la durée du crédit à votre stratégie (cash-flow positif court terme vs maximisation de la plus-value long terme).

La fiscalité : statut LMNP, régime réel, dispositifs fiscaux


La fiscalité est souvent le facteur le plus sous-estimé par les investisseurs débutants. Pourtant, elle peut faire basculer un projet de rentable à non rentable.

  • Le statut LMNP au régime réel permet d’amortir le bien et de réduire fortement, voire d’annuler, l’imposition sur vos loyers.

  • Le déficit foncier est intéressant si vous réalisez des travaux importants, car il peut réduire vos impôts fonciers et globaux.

  • Le dispositif Pinel, quant à lui, offre une réduction d’impôt, mais avec des contraintes sur le loyer et la durée de location.


Bien choisir son régime fiscal, c’est maximiser la rentabilité nette-nette et transformer un projet moyen en investissement performant.

Stratégies pour optimiser et booster votre rentabilité

Choisir le bon type de bien et de location


Le type de bien et le mode de location influencent directement vos loyers et donc vos rendements locatifs.


  • La location vide offre plus de stabilité avec des baux de 3 ans, mais les loyers sont souvent inférieurs.

  • La location meublée permet de pratiquer des loyers plus élevés et bénéficie du statut LMNP, très avantageux fiscalement.

  • La colocation maximise la rentabilité sur de grandes surfaces, en louant chaque chambre séparément.

  • La location courte durée (Airbnb, saisonnier) génère des revenus supérieurs, mais demande une gestion plus active et reste très encadrée dans certaines villes.


L’astuce est de choisir le type de location le plus adapté à la zone où vous investissez : un studio meublé proche d’une université ne se loue pas de la même manière qu’un T4 en périphérie familiale.

Maîtriser les coûts et négocier chaque poste


Chaque euro économisé sur vos charges augmente mécaniquement votre rentabilité. Cela passe par :


  • la négociation du prix d’achat dès l’acquisition,

  • le choix judicieux des artisans et prestataires pour vos travaux,

  • la comparaison des assurances emprunteur et loyers impayés,

  • l’optimisation des frais de gestion (agence, syndic, plateforme digitale).


Conseil pratique : simulez votre projet en intégrant différents scénarios (charges plus élevées, vacance locative, hausse des taux). Cela vous évitera les mauvaises surprises et renforcera vos marges de sécurité.

Ne pas négliger la plus-value à la revente : une composante de la rentabilité globale


Beaucoup d’investisseurs se focalisent uniquement sur les loyers et oublient que la plus-value immobilière est une composante clé de la rentabilité globale. Un bien acheté dans une zone en croissance (quartier en rénovation, arrivée d’un métro, projet urbain) peut générer, en plus des loyers, un gain substantiel lors de la revente.

Qu’est-ce qu’une "bonne" rentabilité locative ?

Rentabilité prévisionnelle vs. rentabilité réelle


Une erreur fréquente des primo-investisseurs est de s’arrêter à la rentabilité prévisionnelle. Celle-ci est calculée avant l’achat, sur la base d’hypothèses souvent optimistes : loyers sans vacance locative, charges minimisées, fiscalité négligée. La rentabilité réelle, elle, se mesure dans la durée : loyers effectivement encaissés, charges imprévues (travaux, réparations), évolution des impôts locaux ou du régime fiscal. Elle est souvent plus basse que prévu, mais elle reflète la réalité de votre trésorerie.


Conseil pratique : comparez systématiquement votre prévisionnel à vos résultats réels chaque année. Cela vous permet d’ajuster votre stratégie, de revoir vos loyers ou de renégocier certains coûts.

Les pièges classiques à éviter


Trois erreurs reviennent régulièrement chez les investisseurs débutants :


  1. Surestimer les loyers : se baser sur des annonces en ligne sans vérifier les loyers réellement pratiqués dans le quartier peut fausser totalement un calcul de rentabilité.

  2. Oublier certaines charges : taxe foncière, frais de syndic, assurance propriétaire, vacance locative… autant d’éléments qui réduisent votre revenu net.

  3. Sous-estimer l’impact fiscal : un régime mal choisi (micro au lieu de réel, par exemple) peut diviser par deux votre rentabilité nette-nette.


Anticiper ces pièges, c’est la garantie de bâtir un projet solide et rentable sur le long terme.

Conclusion : Votre feuille de route pour un investissement locatif rentable

Calculer la rentabilité d’un investissement locatif n’est pas un simple exercice mathématique : c’est le cœur de toute stratégie immobilière réussie. De la rentabilité brute, utile pour comparer rapidement les biens, à la rentabilité nette-nette, qui révèle le bénéfice réel après fiscalité, chaque indicateur apporte un éclairage complémentaire. Les investisseurs les plus avisés s’appuient aussi sur des outils avancés comme le cash-flow, et le TRI pour mesurer la performance dans le temps.


Mais la rentabilité ne dépend pas que des formules : elle est influencée par l’emplacement, le prix d’acquisition et ses frais annexes, la gestion des charges, le financement et bien sûr la fiscalité (LMNP, régime réel, dispositifs comme Pinel ou déficit foncier). Chacun de ces leviers peut transformer un projet moyen en un investissement rentable.


Une bonne rentabilité n’est pas un chiffre unique. Elle doit être adaptée à votre profil, vos objectifs et votre tolérance au risque. Pour certains, un rendement de 4 % net avec une gestion déléguée suffira à sécuriser un patrimoine. Pour d’autres, viser 8 à 10 % en colocation ou en location courte durée sera l’objectif, quitte à consacrer plus de temps et d’énergie à la gestion.


La clé est de garder une approche globale, réaliste et structurée. Avant d’acheter, prenez le temps de simuler vos loyers, vos charges, vos impôts et votre cash-flow. Évitez les pièges classiques (surestimation des loyers, sous-estimation des charges, fiscalité mal anticipée) et comparez toujours vos projections avec ce qui se pratique réellement sur le marché.

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Invest.

2

Revenus

3

Coûts

4

Fiscalité

5

Projections

Le bien

Ville

Paris

Superficie

800

m2

DPE

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Quote-part

2

%

Acquisition

Prix d'achat

2 000

Frais de notaire

800

Frais d'agence (charge acquéreur)

2 000

Travaux et ameublement

800

Financement

Comptant

A credit

Rentabilite nette nette

1.85%

Votre rendement final après impôts et prélèvements sociaux.